Une partie de la collection qui va se développer en parallèle consiste en des portraits inspirés de photographies de cette période qu'on appelle la "belle époque". Portraits pour la plupart anonymes, choisis d'abord pour la beauté du modèle, ensuite parce que ces photographies sont encore dans le cadre de la vie privée emprunts des codes de la peinture, loin des diktats de l'instantanéité actuelle des selfies. La photographie dont le coût se démocratisera progressivement n'en reste pas moins un "investissement". Ceux qui ont connu l'argentique se souviendront que le prix de la pellicule, additionné à celui de son développement, puis de celui du tirage sans forcément être certain du résultat ne manquait pas d'inciter à réfléchir par deux fois avant d'appuyer sur le bouton ou d'aller chez le photographe...
Quoiqu'il en soit, selon l'importance de l'augmentation du nombre d'œuvres dans cette partie, il n'est pas impossible à terme qu'un autre site lui soit consacré entièrement.
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